Recherche pour :
Comment faire pour suivre des études d’arts ?

 

Certains croient à tort que tout le monde peut intégrer les écoles d’art. Certes, elles sont ouvertes à tous dans le sens où tous ceux qui le souhaitent peuvent candidater. Mais les sélections sont particulièrement sévères.

Les études d’arts : pour qui ?

Il y a des écoles comme les Beaux-Arts de Paris et les Arts déco qui n’exigent pas que les élèves soient titulaires du bac, néanmoins, le tri des étudiants est des plus sélectifs. D’autres commettent l’erreur de penser qu’il suffit d’avoir le sens créatif ou d’être passionné par l’art pour être admis ou pour réussir s’ils sont acceptés. Étant donné que les domaines des arts plastiques, les arts appliqués et le spectacle vivant se professionnalisent de plus en plus, l’obtention d’un diplôme est obligatoire pour espérer faire carrière.

Les débouchés des études d’arts

Les études d’arts sont intéressantes dans la mesure où après l’obtention d’un diplôme, le travail est quasi garanti et hautement rémunérateur. Naturellement, on parle ici des formations les plus prestigieuses. Mais pour pouvoir y accéder, il faut se lever tôt, extrêmement tôt. Et les étudiants qui ont la chance d’intégrer ces écoles, leur diplôme sera une sorte de sésame qui leur ouvrira bien des portes. En effet, au-delà de la passion, les études dans une école d’arts donnent à un étudiant un profil des plus intéressants et leur mention sur leur curriculum vitae est un atout de poids.

Un aperçu sur les arts appliqués

Qu’apprend-on au juste dans les études en arts appliqués ? L’objectif de la création artistique est double : fonctionnel et utilitaire. Cela veut dire que la création est appliquée à une image, un produit ou un espace précis. Les cours préparent aux métiers de graphiste, de designer et d’architecte intérieure. Quelle que soit la filière de bac d’un élève, il peut accéder à une école d’arts bien que le bac STI arts appliqués soit un plus. En effet, les titulaires de ce bac n’a pas à suivre la mise à niveau en arts appliqués (Manaa) obligatoire pour les bacheliers d’autres filières. Pour l’entrée en Manaa, la sélection se fait sur dossier scolaire et sur lettre de motivation. Les étudiants « élus » paient eux-mêmes leur matériel et les frais lors des sorties pédagogiques, ce qui revient à environ 500 euros au départ et en plus, dans les 50 à 100 euros par mois.

Les études d’arts sont intéressantes

Un BTS arts ou un DMA (Diplôme des métiers d’arts) s’obtiennent après des cours principalement centrés sur la pratique. Autrement dit, les sortants des écoles supérieures d’arts sont parfaitement aptes à exercer un métier. En fait, en plus des cours, ils participent à de nombreux ateliers. En somme, les 11 BTS artistiques qui comprennent le design d’espace, le design de produits, la communication visuelle etc., ainsi que les 13 DMA comprenant le régie de spectacle, le décor architectural etc. embrassent absolument tous les domaines des arts appliqués. De plus, tout cela se fait en seulement 2 ans d’études après le bac.

Monter une société de robotique, ce qu’il faut savoir

Le monde de la robotique est un secteur qui se développe de plus en plus actuellement. C’est un marché en plein boom même si les acteurs ne sont pas encore nombreux. Si vous avez des compétences en robotique, la meilleure chose à faire c’est de se lancer dans la création de votre société. Cependant, comme le développement de ce type de produit engage beaucoup de financements, il est préférable de commencer par monter une startup sur cette thématique innovante. Comment s’y prendre dans ce cas.

Les points principaux à mettre en avant

Dans un premier temps, il faut savoir mettre en avant et faire un focus sur votre projet de robotique. Généralement, quand on parle de recherche et de développement robotique, on a tendance à créer toutes sortes de robots pour finir par perdre du temps. Focalisez-vous sur une seule idée à développer, et un seul marché à cibler dans un premier temps. Cela vous permettra de vous concentrer sur un seul produit et d’améliorer ses fonctionnalités innovantes en tant que startup. Ce qui amène à trouver le bon marché et le secteur cible. Pour ce faire, dans le développement de votre concept, imaginez à quoi va servir votre robot et quelle sera son utilisation. Ce dernier devra apporter une petite révolution et des techniques innovantes sur le marché que vous ciblez. Autrement, vous n’aurez pas de financement, d’appuis, ou encore de vente. En termes de marché cible, par contre, on vous recommande de ne pas choisir le secteur de l’éducation ou encore, de la recherche. Ces secteurs n’ont pas un financement large et se positionne la plupart du temps, comme des early adopters sur le POC ou proof of concept que vous adoptez. Il sera donc, difficile d’attendre un financement pour le développement final de votre projet, ou pour commercialiser votre POC à ce niveau. Il est plus conseillé d’apporter des solutions dans le domaine du bâtiment ou de l’IOT (Objet connecté). En effet, ces deux secteurs sont en plein boom et permettent d’accéder rapidement à des appuis ou une clientèle, si vous assurez la mise à disposition d’un prototype fiable de votre concept en 2 mois.

Les autres points essentiels

Faites en sorte que votre robot soit attrayant et qu’il réponde aux attentes de votre public cible. En effet, que ce soit dans le monde professionnel ou dans un ménage, le concept du robot attire et fait rêver. Votre produit doit, dans ce cas, répondre aux envies futuristes de vos cibles. Toutefois, ayez sur un produit, un minimum de fonctionnalités, mais qui soient parfaitement opérationnelles, pratiques et efficaces. En effet, l’ajout de toutes sortes de fonctionnalités inutiles peut augmenter le coût de production de votre robot. Par ailleurs, si vous souhaitez mettre sur le marché votre robot, un point à savoir, c’est que le domaine de la conception de l’humanoïde n’est pas encore abouti. Ayez en tête que votre produit peut ne pas avoir de pieds ou de bras, mais qu’il peut répondre parfaitement aux besoins des clients cibles. Par ailleurs, vous devez aussi considérer dans votre projet de création de startup, que les entreprises sont les principales cibles, mais que ces dernières sont plus des clients à la location et non à l’achat.

Ce qu’il faut connaitre sur la prise en charge des frais de déménagement pour les fonctionnaires

Durant la période d’activité d’un fonctionnaire, il est possible qu’il se fasse affecté d’un lieu à un autre. Cela lui demandera de déménager et donc, de changer de domicile. Dans ce cas, il est nécessaire de savoir que l’agent peut bénéficier d’une prime de déménagement, c’est-à-dire, d’une prise en charge de la démarche de changement de domicile, mais sous certaines conditions.

Comment fonctionne cette prime et quelles conditions respectées pour en bénéficier ?

Pour un fonctionnaire, la prime de déménagement peut être une grande bouffée d’air. En effet, c’est un système appliqué par l’État et qui permet de prendre en charge le transport du fonctionnaire et de sa famille, de son ancien domicile vers son nouveau logement. De ce fait, son frais de déplacement sera pris en charge comme il est convenu dans les conditions relatives aux avantages des fonctionnaires publics. Dans ce cas, est considérée comme famille de l’agent, toutes les personnes qui vivent sous le même toit que lui et qui doivent également se déplacer avec lui. Cela concerne le conjoint ou le concubin, les enfants des époux ou de l’un des deux et que ce dernier a pris en charge, ainsi que les ascendants de l’agent. Pour pouvoir jouir de cette prise en charge, par contre, il est nécessaire que l’agent soit en activité et sous contrat comme étant un fonctionnaire. Par ailleurs, la prime ne peut s’octroyer que dans le cadre d’une affectation. Si le déménagement se fait par la simple initiative du fonctionnaire, il ne pourra donc pas bénéficier de la prise en charge. Il faut également que l’agent rejoigne son nouveau domicile au plus tard, 9 mois après la demande de prise en charge ou la demande d’affectation, sauf, si la contrainte de la scolarité de ses enfants l’oblige à dépasser les 9 mois.

Combien coûte la prime octroyée pour le fonctionnaire ?

Si on est agent de l’État, il est possible de bénéficier d’un certain montant de prise en charge du processus de déménagement. Dans ce cas, il y aura des critères de calcul à considérer. Ainsi, la base de calcul se fera selon la situation matrimoniale de l’agent. Également, le volume des biens à déplacer sera multiplié par la distance du trajet entre le logement ancien et le nouveau domicile. Le tout, ajouté par une base d’indemnité forfaitaire exprimée en euro. Le montant dans ce cas ne dépassera pas les 5000 euros. Par ailleurs, il est possible que cette indemnité subisse une majoration de 20 % dans le cas où le fonctionnaire est muté d’office, obtient un avancement de grade ou encore, est sanctionné par une montée en grade ou une promotion pour un poste hiérarchiquement supérieur.

Les trois règles d’or pour devenir un bon chef d’équipe et savoir déléguer

Savoir déléguer des tâches n’est pas si simple que l’on ne croit. C’est même une des qualités difficiles à acquérir chez un manager d’équipe. Pourtant, c’est la clé pour devenir un vrai manager efficace et respecté de ses collaborateurs. Il arrive en effet que par manque de confiance en soi ou aux autres, le manager se laisser déborder par une masse de travail si bien qu’il se retrouve débordé et piégé dans une situation inextricable. Ces trois règles d’or permettent aux chefs d’équipe d’agir de façon efficace vis-à-vis de son équipe et savoir déléguer des tâches.

Évaluer la tâche à réaliser

Toutes les tâches ne présentent pas les mêmes difficultés et particularités. Il est important d’évaluer quel est le type de travail à réaliser et quel est le profil de collaborateur qui sera à même de le prendre en charge. Il faut aussi évaluer le temps nécessaire pour son exécution ainsi que les actions complémentaires qui peuvent être associés à la réalisation d’une mission.

Établir les consignes

Dans la délégation des tâches, il est aussi nécessaire de donner des consignes claires avec des exemples, afin que le collaborateur puisse comprendre exactement ce que l’on attend de lui. Parlez-lui des démarches à suivre, du mode d’action à entreprendre s’il s’agit d’un travail spécifique, de l’objectif attendu et du délai d’exécution. Au besoin, vous pouvez demandez à cette personne de reformuler votre demande afin de savoir si le message est bien passé.

Faites un plan de suivi des actions

Un plan de suivi des actions permettra à l’employé de s’auto-contrôler et de ne pas perdre le fil des actions. Pour le chef d’équipe, c’est un outil efficace pour suivre l’évolution des tâches et assurer leur bon déroulement.

Quelles filières suivre après son bac ES ?

Un bachelier ES peut se permettre de choisir parmi plusieurs filières. La majorité de ces étudiants pourtant choisissent de poursuivre leurs études à l’université. Ainsi, ils continuent leur chemin pour trois à cinq ans encore selon la spécialisation. Ce qui est sûr dans tous les cas, c’est qu’aux termes de ces études, plusieurs portes vers le monde du travail s’ouvriront bien grand devant eux.

Les filières Économie et gestion

Si vous vous sentez avoir de l’attirance pour les statistiques et les chiffres, cela signifie que vous avez toutes les chances de réussir d’obtenir votre licence et master en gestion d’entreprises, en ressources humaines, en commerce, en marketing et bien d’autres encore.

Les filières droites, science politique

Ces filières sont très spécialement affectionnées par les étudiants ES, aux termes de cinq à huit années d’étude, vous pourriez décrocher une bonne place en ressources humaines, à divers métiers en rapport avec la justice, au notariat, au conseil en entreprises et autres.
Les études de droit et de science politique demande une capacité rationnelle très accrue, une faciliter à analyser et synthétiser en plus d’avoir une aisance naturelle dans le relationnel.
L’avantage de la filière science politique est d’être assemblée avec le droit en licence et l’histoire. C’est en master se spécialiser en relations internationales, en communication et en humanitaire sont proposées.

Les filières lettres et langues

Les diplômés ES on aussi la possibilité de s’orienter vers une licence en lettres afin de devenir enseignant ou journaliste après avoir décroché un master. Les principales qualités à avoir sont l’esprit d’analyse, une aisance naturelle pour s’exprimer et savoir argumenter.
Les opportunités qui s’offrent aux bacheliers ES sont, pour ainsi dire, illimité et ont l’embarras du choix en ce qui concerne la carrière que chacun souhaite construire.

Comment manager un apprenti ?

Recevoir un apprenti dans votre entreprise apporte plusieurs avantages, notamment fiscaux. Cela dit, prendre sous ses ailes un stagiaire n’est jamais une mince affaire. Voici quelques conseils qui pourront vous aider à mener à bien cette mission.

Fixer des objectifs SMART pour l’apprenti

Pour que l’apprentissage se passe correctement, il va falloir fixer des objectifs précis et détaillés. L’acronyme SMART signifie qu’il faut établir des buts spécifiques, mesurables, accessibles, réalistes et temporels. Avec les jeunes, il est toujours préférable de mettre au clair les règles du jeu, avant même de commencer l’apprentissage. L’établissement d’une bonne base pour la communication tuteur-apprenti sera aussi indispensable. La décontraction sera de mise, mais l’ambiance doit rester professionnelle.

Se conduire en bon tuteur

Encadrer un jeune peut parfois demander de la préparation. Avant l’arrivée de l’apprenti, il faut déterminer son parcours. Les collaborateurs doivent aussi être informés à l’avance et tenus au courant du rôle du stagiaire dans l’entreprise. En effet, il ne faut pas que la jeune apprentie accapare l’attention de toute l’entreprise. Le tuteur doit aussi se rendre disponible. Il doit s’organiser de manière à rendre son emploi du temps compatible avec les longues séances de formation. Gardez votre calme, les jeunes du troisième millénaire mettent parfois du temps à tout assimiler.

Faire preuve de beaucoup de compréhension

De la compréhension, il en faut beaucoup pour arriver à gérer les jeunes. Ces derniers font régulièrement des bêtises en tout genre. C’est encore plus marqué avec la génération Z, c’est-à-dire ceux qui ont grandi avec Internet et Facebook. L’entrepreneur qui prend quelques apprentis sous sa protection agit en connaissance de cause. Cependant, les pires situations sont assez rares. Les absences non indiquées à l’avance ou les petites bourdes sont les plus courantes. Quoi qu’il en soit, il faut accorder votre confiance à votre apprenti. Il fera en sorte de mériter votre estime.

Quel emploi après 50 ans ?

Dans un environnement professionnel très concurrentiel, il n’est pas évident de positiver quand on doit trouver du travail au delà de 50 ans. Les opportunités se raréfient et les entreprises privilégient généralement les jeunes diplômés. Pour maximiser ses chances de retour à l’emploi, voici donc quelques secteurs à exploiter.

Les PME et la production

Beaucoup de domaines recrutent des seniors. Les petites entreprises par exemple sont les plus nombreuses à engager les plus de 50 ans puisqu’elles ont surtout besoin d’aptitudes et d’habileté. Les métiers de production aussi ont besoin de personnes plus âgées pour gérer un site de production, diriger la ligne de produit ou encore pour superviser une chaîne de production. Sachez que tout cela réclame de l’expérience et des techniques. Même dans la comptabilité, les sociétés ont besoin de personnes murs et dotés de plus d’expertise.

Le coaching

Fortement sollicité en matière de coaching d’entreprise, les seniors ont une plus grande chance de réussite dans ce domaine. Il peut ici s’agir d’un coaching individuel, un coaching d’équipe, un soutien de développement ou même de transition. Les seniors disposent en effet beaucoup plus d’expériences et même de compétences, ce qui fait qu’ils sont privilégiés dans ce domaine par rapport aux autres catégories d’âge.

Les franchises

Les entreprises en franchise sont à la fois une option intéressante pour les seniors en quête du meilleur emploi. Ils permettent en effet d’avoir un statut juridiquement indépendant et de profiter des aides des partenaires fiables. Les relations entre franchisé et franchiseur sont décrits comme synallagmatique donc une relation gagnant-gagnant. Parmi les secteurs porteurs de la franchise, on peut citer le domaine de la restauration, le commerce spécialisé, l’hôtellerie, le bâtiment et surtout l’immobilier qui est considéré comme l’investissement le plus rentable. Il en est de même pour la décoration et le home-staging. La franchise vous offre de nombreuses opportunités intéressantes, il vous appartient donc de choisir selon vos passions et vos moyens.

Les formations pour adultes

Qui n’a jamais rêvé d’exercer le métier de ses rêves ? Dans les lignes suivantes, vous allez découvrir qu’il n’y a aucune limite d’âge pour y parvenir. À tout moment et pour une raison ou une autre, vous pouvez vous reconvertir et suivre une formation professionnelle. Que ce soit pour une reconversion, un perfectionnement dans un secteur défini, gagner en compétence ou tout simplement apporter un essor significatif à votre vie professionnelle, le choix de la formation à suivre est une phase décisive. Peu importe que vous soyez à la recherche d’emploi, libéral ou salarié, vous lancer sera le plus dur à faire.

Les différentes formations

De nombreuses formations professionnelles sont possibles pour un adulte qui souhaite apporter un changement positif dans sa vie professionnelle. Des formations qui permettent d’obtenir une qualification, une certification ou un diplôme reconnus par l’état.

La formation qualifiante

Suivre une formation qualifiante améliorera considérablement vos aptitudes dans votre domaine. Vous pourrez à son terme vous targuer d’avoir la polyvalence que recherchent tous les employeurs. Vous pourrez mettre en avant votre savoir-faire et ainsi favoriser une éventuelle promotion ou vous réorienter professionnellement.

La formation certifiée

Suivre ce genre de formation vous permettra d’obtenir une certification spécifique dans un domaine professionnel précis qui est reconnu par l’état français. De ce fait, la valeur de la formation est attestée par la norme ISO ou AFNOR. La durée d’une formation qualifiante est généralement plus en correspondance avec vos disponibilités. Vous pourrez par la même occasion maîtriser les outils modernes utilisés par de nombreuses entreprises.

La formation diplômante

La formation diplômante est destinée à toutes personnes souhaitant obtenir un diplôme d’état. Ce dernier est classé selon le niveau et le nombre d’années d’étude.

Les femmes : meilleures leaders ?

Dans le monde du management, une chose est sûre : la plupart des postes sont détenus par les hommes. Mais une deuxième autre chose est sûre également : les femmes managent mieux que les hommes. Des études révèlent que les femmes patronnes sont de bien meilleures leaders que leurs homologues masculins. Ce peut être surprenant pour le commun des mortels et certainement contesté par un bon nombre de messieurs. Mais le fait est là, incontestable : les femmes présentent des aptitudes de leader bien plus performantes que les hommes. Dans quels domaines précisément elles l’emportent sur les hommes ?

Les femmes et la communication

Premièrement, la femme est douée, naturellement semble-t-il, pour la communication. Elle est pour le dialogue, elle a plus de facilité à écouter et pourtant, en management, tout le monde sait que c’est la qualité primordiale. Un management efficace est basé sur une bonne communication avec ses collaborateurs et avec la clientèle, c’est une évidence ! Quel collaborateur ne souhaite pas traiter avec un manager qui écoute ses idées, qui prend le temps de le laisser exprimer ses opinions ? Quel client n’est pas attiré par un manager qui prend la peine d’écouter leurs problèmes avant de leur proposer une solution ? Une bonne communication est la base d’une relation forte et d’une confiance mutuelle, indispensables à toute entreprise qui se veut pérenne.

Ces raisons qui font que la femme manage mieux

La femme ne recherche pas à tout prix à montrer son autorité, à asseoir son pouvoir, à faire connaître son avis. Au contraire, la femme manager bâtit des communautés. Donner des ordres n’est pas une priorité pour elle, tout ce qu’elle veut, c’est de construire une relation de coopération. L’homme, par contre, a tendance à adopter l’approche autoritaire, à instaurer des directives sans avoir à consulter qui que ce soit et entend se faire obéir. Et pourtant, les faits montrent que ce genre d’attitude n’a plus sa place au sein des entreprises aujourd’hui. L’important, c’est la relation de collaboration, c’est construire le consensus. Et c’est ce qui marche ! Combien d’entreprises ont dû se défaire de ces hommes qui veulent à tout prix imposer leur autorité, en constatant que cela pollue l’atmosphère au travail et n’aide pas les collaborateurs à s’épanouir ! De plus, un tel manager n’établit pas une relation de confiance avec la clientèle, ce qui est mauvais pour l’image de marque de l’entreprise et fait perdre des ventes et des contrats.

Le code moral avant tout

Ce qui fait le succès de la femme leader, c’est aussi le fait qu’elle prend en considération les droits de chacun, elle les respecte. En général, elle se montre équitable et pour appuyer l’idée déjà citée plus haut, elle ne se montre pas arbitraire. Exit trop de règles et de normes au sein de l’entreprise, mais ou au code moral auquel elle fait appel lorsqu’il est question de choix éthiques. Autre qualité qui la rend meilleure leader, c’est le fait qu’elle soit plus patiente envers ses collaborateurs. Par exemple, lorsque l’un d’eux ne marche pas droit, elle ne se précipite pas pour prendre une décision à son encontre, elle ne se hâte pas de tirer des conclusions, elle préfère attendre que le collaborateur en question change de comportement, de méthode. Elle voit loin et ne prend pas de mesures prématurées. C’est notamment important dans les entreprises de petite envergure où les résultats se font attendre habituellement. Sa politique serait : des petites avancées dans l’immédiat mais en visant un objectif plus palpable à long terme. Atout de poids chez la femme manager et qui lui permet de gagner, sur tous les fronts. En effet, un collaborateur qui bénéficie d’un tel traitement ne peut que le lui rendre, il est poussé à faire de son mieux pour se rattraper, en reconnaissance pour sa patronne.

Une femme patronne ou rien !

Les études démontrent que les femmes leaders connaissent un plus grand succès que les hommes leaders car elles présentent des compétences et des qualités, innées pour certaines, développées plus facilement pour d’autres ? L’un de ces compétences est la capacité à susciter la passion chez ses collaborateurs. On le sait, un salarié motivé se donne pleinement à son travail, il s’implique entièrement, ce qui veut dire qu’il ne songera pas à quitter le navire. Et les femmes managers ont ce don de stimuler cette passion chez la plupart des salariés. Elles savent comment créer cette passion pour un produit, un service. Partant de là, on comprend que les femmes patronnes savent mieux créer la cohésion au sein de leur équipe. Seraient-elles aussi plus honnêtes ? Les études semblent abonder dans ce sens, et elles indiquent également que ces femmes leaders prêtent davantage attention aux autres, ce qui les rend définitivement plus attrayantes que les hommes patrons.