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Quels sont les différents types de management ?

Le management est défini comme étant la capacité des chefs d’entreprise à diriger leurs équipes. Quels en sont les objectifs principaux et les contraintes ? Entre autres choses, diriger les ressources humaines en ayant pour objectif d’obtenir des résultats, prendre en compte les besoins de chacun des collaborateurs pour que le rendement soit optimal, tenir compte du marché c’est-à-dire l’offre et la demande, offrir les meilleures conditions de travail aux salariés et surtout, respecter les lois régissant le travail et les droits de ceux-ci.
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Top 3 des techniques de référencement

Le référencement est obligatoire pour tous ceux qui possèdent un site et qui souhaitent gagner en visibilité sur les moteurs de recherche. Quels sont les paramètres pris en compte par Google pour afficher votre site dans les SERP et principalement dans les premières pages ? Découvrez les différentes techniques à prendre en compte pour plaire à Google et aux internautes en même temps.

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Les métiers du web les plus connus

Toutes les entreprises sont touchées par la révolution numérique. Qui plus est, leur présence sur la toile est de nos jours incontournable pour pouvoir faire face à la concurrence. Pour les accompagner dans leur évolution, elles recrutent alors différents professionnels du web. Quels sont les métiers les plus connus dans le secteur du digital ?
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Les différents statuts pour le conjoint du chef d’entreprise

Le compagnon ou la compagne du chef d’entreprise peut actuellement prendre part au fonctionnement de la société. En tant que conjoint marié ou pacsé du chef d’entreprise, il peut prétendre à trois types de statut : collaborateur, associé ou salarié au sein de la société. Les concubins par contre n’ont que l’option du salariat. Chacun de ces statuts a ses avantages et ses inconvénients.

Le conjoint salarié : ce qu’il faut savoir !

Ce type de statut est le plus conseillé aux chefs d’entreprise voulant intégrer leurs conjoints au sein de la société. Comme tous les autres salariés, le conjoint doit signer un contrat de travail en bonne et due forme en occupant une poste répondant à ses compétences et niveaux d’étude. Ce statut lui permet d’avoir un bon niveau de protection sociale en matière de retraite et de maladie. Ce statut est également très intéressant si jamais les deux conjoints décident de se séparer. Le chef d’entreprise peut facilement congédier son ex-conjoint en lui versant des indemnités.

Qu’en est-il du conjoint associé ?

Ce statut est conseillé pour les conjoints qui ont conçu ensemble de projet et souhaitent se trouver sur un pied d’égalité au sein de l’entreprise. Ce statut est envisageable dans presque tous types de société : SARL, SASU, SAS, EURL ou encore SELARL. Chaque conjoint détient alors une part du capital à part égal ou pas, menant au droit proportionnel aux bénéfices. Les deux conjoints bénéficient alors du même régime de protection sociale. En cas de décès, le conjoint survivant prendra seul la relève. En cas de séparation, la situation peut être délicat puisque chaque conjoint est libre de décider de céder ou pas sa part.

Mieux comprendre le système du conjoint collaborateur

Le statut de conjoint collaborateur peut être appliqué dans toute entreprise individuelle. Il ne touche pas de rémunération comme le cas du conjoint salarié. Il n’a pas non plus plein droit sur l’entreprise comme le conjoint associé. Il travaille uniquement sous mandant confié par le chef d’entreprise. Il peut entre autres signer des chèques, recevoir des paiements, envoyer des factures, émettre un devis. Qu’est-ce qu’il gagne alors à contribuer au fonctionnement de l’entreprise ? Le chef d’entreprise cotise pour le compte RSI de son conjoint par cotisation unique avec partage de droits ou cotisation double. Ceci permet au conjoint collaborateur de ne pas se retrouver démuni après le décès du chef d’entreprise.

Comment faire pour suivre des études d’arts ?

 

Certains croient à tort que tout le monde peut intégrer les écoles d’art. Certes, elles sont ouvertes à tous dans le sens où tous ceux qui le souhaitent peuvent candidater. Mais les sélections sont particulièrement sévères.

Les études d’arts : pour qui ?

Il y a des écoles comme les Beaux-Arts de Paris et les Arts déco qui n’exigent pas que les élèves soient titulaires du bac, néanmoins, le tri des étudiants est des plus sélectifs. D’autres commettent l’erreur de penser qu’il suffit d’avoir le sens créatif ou d’être passionné par l’art pour être admis ou pour réussir s’ils sont acceptés. Étant donné que les domaines des arts plastiques, les arts appliqués et le spectacle vivant se professionnalisent de plus en plus, l’obtention d’un diplôme est obligatoire pour espérer faire carrière.

Les débouchés des études d’arts

Les études d’arts sont intéressantes dans la mesure où après l’obtention d’un diplôme, le travail est quasi garanti et hautement rémunérateur. Naturellement, on parle ici des formations les plus prestigieuses. Mais pour pouvoir y accéder, il faut se lever tôt, extrêmement tôt. Et les étudiants qui ont la chance d’intégrer ces écoles, leur diplôme sera une sorte de sésame qui leur ouvrira bien des portes. En effet, au-delà de la passion, les études dans une école d’arts donnent à un étudiant un profil des plus intéressants et leur mention sur leur curriculum vitae est un atout de poids.

Un aperçu sur les arts appliqués

Qu’apprend-on au juste dans les études en arts appliqués ? L’objectif de la création artistique est double : fonctionnel et utilitaire. Cela veut dire que la création est appliquée à une image, un produit ou un espace précis. Les cours préparent aux métiers de graphiste, de designer et d’architecte intérieure. Quelle que soit la filière de bac d’un élève, il peut accéder à une école d’arts bien que le bac STI arts appliqués soit un plus. En effet, les titulaires de ce bac n’a pas à suivre la mise à niveau en arts appliqués (Manaa) obligatoire pour les bacheliers d’autres filières. Pour l’entrée en Manaa, la sélection se fait sur dossier scolaire et sur lettre de motivation. Les étudiants « élus » paient eux-mêmes leur matériel et les frais lors des sorties pédagogiques, ce qui revient à environ 500 euros au départ et en plus, dans les 50 à 100 euros par mois.

Les études d’arts sont intéressantes

Un BTS arts ou un DMA (Diplôme des métiers d’arts) s’obtiennent après des cours principalement centrés sur la pratique. Autrement dit, les sortants des écoles supérieures d’arts sont parfaitement aptes à exercer un métier. En fait, en plus des cours, ils participent à de nombreux ateliers. En somme, les 11 BTS artistiques qui comprennent le design d’espace, le design de produits, la communication visuelle etc., ainsi que les 13 DMA comprenant le régie de spectacle, le décor architectural etc. embrassent absolument tous les domaines des arts appliqués. De plus, tout cela se fait en seulement 2 ans d’études après le bac.

Monter une société de robotique, ce qu’il faut savoir

Le monde de la robotique est un secteur qui se développe de plus en plus actuellement. C’est un marché en plein boom même si les acteurs ne sont pas encore nombreux. Si vous avez des compétences en robotique, la meilleure chose à faire c’est de se lancer dans la création de votre société. Cependant, comme le développement de ce type de produit engage beaucoup de financements, il est préférable de commencer par monter une startup sur cette thématique innovante. Comment s’y prendre dans ce cas.

Les points principaux à mettre en avant

Dans un premier temps, il faut savoir mettre en avant et faire un focus sur votre projet de robotique. Généralement, quand on parle de recherche et de développement robotique, on a tendance à créer toutes sortes de robots pour finir par perdre du temps. Focalisez-vous sur une seule idée à développer, et un seul marché à cibler dans un premier temps. Cela vous permettra de vous concentrer sur un seul produit et d’améliorer ses fonctionnalités innovantes en tant que startup. Ce qui amène à trouver le bon marché et le secteur cible. Pour ce faire, dans le développement de votre concept, imaginez à quoi va servir votre robot et quelle sera son utilisation. Ce dernier devra apporter une petite révolution et des techniques innovantes sur le marché que vous ciblez. Autrement, vous n’aurez pas de financement, d’appuis, ou encore de vente. En termes de marché cible, par contre, on vous recommande de ne pas choisir le secteur de l’éducation ou encore, de la recherche. Ces secteurs n’ont pas un financement large et se positionne la plupart du temps, comme des early adopters sur le POC ou proof of concept que vous adoptez. Il sera donc, difficile d’attendre un financement pour le développement final de votre projet, ou pour commercialiser votre POC à ce niveau. Il est plus conseillé d’apporter des solutions dans le domaine du bâtiment ou de l’IOT (Objet connecté). En effet, ces deux secteurs sont en plein boom et permettent d’accéder rapidement à des appuis ou une clientèle, si vous assurez la mise à disposition d’un prototype fiable de votre concept en 2 mois.

Les autres points essentiels

Faites en sorte que votre robot soit attrayant et qu’il réponde aux attentes de votre public cible. En effet, que ce soit dans le monde professionnel ou dans un ménage, le concept du robot attire et fait rêver. Votre produit doit, dans ce cas, répondre aux envies futuristes de vos cibles. Toutefois, ayez sur un produit, un minimum de fonctionnalités, mais qui soient parfaitement opérationnelles, pratiques et efficaces. En effet, l’ajout de toutes sortes de fonctionnalités inutiles peut augmenter le coût de production de votre robot. Par ailleurs, si vous souhaitez mettre sur le marché votre robot, un point à savoir, c’est que le domaine de la conception de l’humanoïde n’est pas encore abouti. Ayez en tête que votre produit peut ne pas avoir de pieds ou de bras, mais qu’il peut répondre parfaitement aux besoins des clients cibles. Par ailleurs, vous devez aussi considérer dans votre projet de création de startup, que les entreprises sont les principales cibles, mais que ces dernières sont plus des clients à la location et non à l’achat.

Ce qu’il faut connaitre sur la prise en charge des frais de déménagement pour les fonctionnaires

Durant la période d’activité d’un fonctionnaire, il est possible qu’il se fasse affecté d’un lieu à un autre. Cela lui demandera de déménager et donc, de changer de domicile. Dans ce cas, il est nécessaire de savoir que l’agent peut bénéficier d’une prime de déménagement, c’est-à-dire, d’une prise en charge de la démarche de changement de domicile, mais sous certaines conditions.

Comment fonctionne cette prime et quelles conditions respectées pour en bénéficier ?

Pour un fonctionnaire, la prime de déménagement peut être une grande bouffée d’air. En effet, c’est un système appliqué par l’État et qui permet de prendre en charge le transport du fonctionnaire et de sa famille, de son ancien domicile vers son nouveau logement. De ce fait, son frais de déplacement sera pris en charge comme il est convenu dans les conditions relatives aux avantages des fonctionnaires publics. Dans ce cas, est considérée comme famille de l’agent, toutes les personnes qui vivent sous le même toit que lui et qui doivent également se déplacer avec lui. Cela concerne le conjoint ou le concubin, les enfants des époux ou de l’un des deux et que ce dernier a pris en charge, ainsi que les ascendants de l’agent. Pour pouvoir jouir de cette prise en charge, par contre, il est nécessaire que l’agent soit en activité et sous contrat comme étant un fonctionnaire. Par ailleurs, la prime ne peut s’octroyer que dans le cadre d’une affectation. Si le déménagement se fait par la simple initiative du fonctionnaire, il ne pourra donc pas bénéficier de la prise en charge. Il faut également que l’agent rejoigne son nouveau domicile au plus tard, 9 mois après la demande de prise en charge ou la demande d’affectation, sauf, si la contrainte de la scolarité de ses enfants l’oblige à dépasser les 9 mois.

Combien coûte la prime octroyée pour le fonctionnaire ?

Si on est agent de l’État, il est possible de bénéficier d’un certain montant de prise en charge du processus de déménagement. Dans ce cas, il y aura des critères de calcul à considérer. Ainsi, la base de calcul se fera selon la situation matrimoniale de l’agent. Également, le volume des biens à déplacer sera multiplié par la distance du trajet entre le logement ancien et le nouveau domicile. Le tout, ajouté par une base d’indemnité forfaitaire exprimée en euro. Le montant dans ce cas ne dépassera pas les 5000 euros. Par ailleurs, il est possible que cette indemnité subisse une majoration de 20 % dans le cas où le fonctionnaire est muté d’office, obtient un avancement de grade ou encore, est sanctionné par une montée en grade ou une promotion pour un poste hiérarchiquement supérieur.

Les trois règles d’or pour devenir un bon chef d’équipe et savoir déléguer

Savoir déléguer des tâches n’est pas si simple que l’on ne croit. C’est même une des qualités difficiles à acquérir chez un manager d’équipe. Pourtant, c’est la clé pour devenir un vrai manager efficace et respecté de ses collaborateurs. Il arrive en effet que par manque de confiance en soi ou aux autres, le manager se laisser déborder par une masse de travail si bien qu’il se retrouve débordé et piégé dans une situation inextricable. Ces trois règles d’or permettent aux chefs d’équipe d’agir de façon efficace vis-à-vis de son équipe et savoir déléguer des tâches.

Évaluer la tâche à réaliser

Toutes les tâches ne présentent pas les mêmes difficultés et particularités. Il est important d’évaluer quel est le type de travail à réaliser et quel est le profil de collaborateur qui sera à même de le prendre en charge. Il faut aussi évaluer le temps nécessaire pour son exécution ainsi que les actions complémentaires qui peuvent être associés à la réalisation d’une mission.

Établir les consignes

Dans la délégation des tâches, il est aussi nécessaire de donner des consignes claires avec des exemples, afin que le collaborateur puisse comprendre exactement ce que l’on attend de lui. Parlez-lui des démarches à suivre, du mode d’action à entreprendre s’il s’agit d’un travail spécifique, de l’objectif attendu et du délai d’exécution. Au besoin, vous pouvez demandez à cette personne de reformuler votre demande afin de savoir si le message est bien passé.

Faites un plan de suivi des actions

Un plan de suivi des actions permettra à l’employé de s’auto-contrôler et de ne pas perdre le fil des actions. Pour le chef d’équipe, c’est un outil efficace pour suivre l’évolution des tâches et assurer leur bon déroulement.

Quelles filières suivre après son bac ES ?

Un bachelier ES peut se permettre de choisir parmi plusieurs filières. La majorité de ces étudiants pourtant choisissent de poursuivre leurs études à l’université. Ainsi, ils continuent leur chemin pour trois à cinq ans encore selon la spécialisation. Ce qui est sûr dans tous les cas, c’est qu’aux termes de ces études, plusieurs portes vers le monde du travail s’ouvriront bien grand devant eux.

Les filières Économie et gestion

Si vous vous sentez avoir de l’attirance pour les statistiques et les chiffres, cela signifie que vous avez toutes les chances de réussir d’obtenir votre licence et master en gestion d’entreprises, en ressources humaines, en commerce, en marketing et bien d’autres encore.

Les filières droites, science politique

Ces filières sont très spécialement affectionnées par les étudiants ES, aux termes de cinq à huit années d’étude, vous pourriez décrocher une bonne place en ressources humaines, à divers métiers en rapport avec la justice, au notariat, au conseil en entreprises et autres.
Les études de droit et de science politique demande une capacité rationnelle très accrue, une faciliter à analyser et synthétiser en plus d’avoir une aisance naturelle dans le relationnel.
L’avantage de la filière science politique est d’être assemblée avec le droit en licence et l’histoire. C’est en master se spécialiser en relations internationales, en communication et en humanitaire sont proposées.

Les filières lettres et langues

Les diplômés ES on aussi la possibilité de s’orienter vers une licence en lettres afin de devenir enseignant ou journaliste après avoir décroché un master. Les principales qualités à avoir sont l’esprit d’analyse, une aisance naturelle pour s’exprimer et savoir argumenter.
Les opportunités qui s’offrent aux bacheliers ES sont, pour ainsi dire, illimité et ont l’embarras du choix en ce qui concerne la carrière que chacun souhaite construire.

Comment manager un apprenti ?

Recevoir un apprenti dans votre entreprise apporte plusieurs avantages, notamment fiscaux. Cela dit, prendre sous ses ailes un stagiaire n’est jamais une mince affaire. Voici quelques conseils qui pourront vous aider à mener à bien cette mission.

Fixer des objectifs SMART pour l’apprenti

Pour que l’apprentissage se passe correctement, il va falloir fixer des objectifs précis et détaillés. L’acronyme SMART signifie qu’il faut établir des buts spécifiques, mesurables, accessibles, réalistes et temporels. Avec les jeunes, il est toujours préférable de mettre au clair les règles du jeu, avant même de commencer l’apprentissage. L’établissement d’une bonne base pour la communication tuteur-apprenti sera aussi indispensable. La décontraction sera de mise, mais l’ambiance doit rester professionnelle.

Se conduire en bon tuteur

Encadrer un jeune peut parfois demander de la préparation. Avant l’arrivée de l’apprenti, il faut déterminer son parcours. Les collaborateurs doivent aussi être informés à l’avance et tenus au courant du rôle du stagiaire dans l’entreprise. En effet, il ne faut pas que la jeune apprentie accapare l’attention de toute l’entreprise. Le tuteur doit aussi se rendre disponible. Il doit s’organiser de manière à rendre son emploi du temps compatible avec les longues séances de formation. Gardez votre calme, les jeunes du troisième millénaire mettent parfois du temps à tout assimiler.

Faire preuve de beaucoup de compréhension

De la compréhension, il en faut beaucoup pour arriver à gérer les jeunes. Ces derniers font régulièrement des bêtises en tout genre. C’est encore plus marqué avec la génération Z, c’est-à-dire ceux qui ont grandi avec Internet et Facebook. L’entrepreneur qui prend quelques apprentis sous sa protection agit en connaissance de cause. Cependant, les pires situations sont assez rares. Les absences non indiquées à l’avance ou les petites bourdes sont les plus courantes. Quoi qu’il en soit, il faut accorder votre confiance à votre apprenti. Il fera en sorte de mériter votre estime.